Comment expliquer ces étranges et puissants sons entendus à travers le monde ?


Depuis quelques décennies, d'étranges sons, puissants et envahissants se font entendre dans différentes localités du monde. Début 2016, ils ont été perçus très clairement au Maroc, sans que des explications convaincantes et sérieuses puissent être fournies. Nous avançons prudemment quelques hypothèses face à un mystère qui reste complet.

Ces sons singuliers, de basse fréquence, persistants et envahissants, qui ressemblent à une sirène ou un bourdonnement rappelant un puissant moteur diesel qui tournerait au ralenti et à intervalle régulier dans le lointain.

Ces phénomènes encore inexpliqués ont été évoqués dès le 19e siècle, mais ils sont de plus en plus populaires depuis la fin des années 1970. Ils ont été entendus massivement dans plusieurs localités dans le monde :

    1979 : Bristol Hum (Bristol, Angleterre)
    Depuis le début années 1990 : Taos Hum (Nouveau-Mexique, Etats-Unis)
    1999 : Kokomo Hum (Indiana, Etats-Unis)
    2006 : Auckland North Shore Hum (Auckland, Nouvelle-Zélande)
    2009 : Bondi Buzz (Australie)
    Janvier 2012 : Belgique ; New-York (Etats-Unis) ; Suisse ; Canada ; Costa Rica
    Décembre 2012 : Concklin, Alberta, Canada
    Janvier 2016 : Maroc
    Novembre 2016 : Palestine Occuper par Israel

Près de 9 000 témoignages ont été mis en ligne dans la base de données cartographique du projet World Hum Map, sans que l'on sache toutefois ce qui tient vraiment ces sons singuliers, de basse fréquence, persistants et envahissants

Le CERN (Organisation Européenne pour la Recherche Nucléaire) !! Qu’est ce que le CERN fait?

Qu’est ce que le CERN fait? Des nuages bizarres qui survolent le Grand Collisionneur de Hadrons sont la preuve que des portails sont ouverts sur Terre

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De nouvelles images de plusieurs formations de nuages bizarres qui survolaient le Grand Collisionneur de Hadrons du CERN (LHC), pourraient bien être la preuve bouleversante que l’expérience la plus importante du monde est sur le point d’ouvrir un portail vers une autre dimension.
Lhc tunnel 1

LHC Genève tunnel


Une vidéo montre que deux photographies de nuages et de lumières au dessus du LHC à Genève (à la frontière Franco-Suisse en date du 24 juin) Ont été prises le même jour que les scientifiques du CERN faisaient une nouvelle expérience (du nom de Awake) pour briser des particules entre elles.

Le narrateur de la vidéo du CERN, autrement connu comme l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire, affirme que les deux images ont été analysées par des experts et qu’il n’y a aucune manipulation.

Pourquoi part t-il de jesus dans cette vidéo probablement qu'il est croyant ou comme" Le boson de Higgs "et aussi appeler « particule de Dieu » Le boson de Higgs était la pièce manquante du Modèle standard de la physique des particules. Il faudra attendre le LHC pour qu’il puisse être observé expérimentalement, près de 50 ans après que la particule a été postulée pour la première fois. Le terme « God particle » (souvent traduit en français par « particule de Dieu ») apparaît pour la première fois en 1993 dans un ouvrage de vulgarisation scientifique, intitulé Une sacrée particule : si l’Univers est la réponse, quelle est la question ? (titre original : The God particle : if the Universe is the Answer, What is the Question ?), écrit par Leon Ledermann en collaboration avec Dick Teresi. Les deux auteurs racontent que le titre proposé initialement : « Goddamn Particle » (« sacrée particule », exprimant la difficulté d’observer cet objet insaisissable), a été refusé par l’éditeur. Repris par les médias, le terme « God particle » s’est répandu, bien qu’il soit jugé inapproprié par les scientifiques comme par les religieux.


Il a dit: « Ce n’est pas un fond d’écran que vous pourriez trouver sur Google. C’est une image réelle prise le 24 Juin 2016. Les nuages se trouvaient directement au-dessus du CERN, et la formation est très intéressante… »

« Vous pouvez constater que l’énergie produite est colossale en analysant le nombre d’éclairs dans la photo. »

Il a demandé à ses fans si ils avaient peur du CERN, et il leur a conseillés qu’ils devraient être concernés.

Il a dit: « Quel taux énergétique le CERN a-t’il réussi à produire? Est-ce la raison pour laquelle le climat est tellement inhabituel et fou ces derniers temps? Il y a plusieurs collisionneurs partout ailleurs dans le monde, sachez-le. »

La vidéo démarre avec la présentation du calendrier du LHC du CERN pour une expérience appelée Awake (Eveil en anglais) qui devait commencer le 24 Juin.

Le narrateur a dit: « Est-ce une coïncidence qu’ils venaient tout juste de lancer l’expérience ‘Awake’? »

Portail cern 3

 

 

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« Cette boule d’énergie folle se trouvait dans le ciel du LHC. Plusieurs personnes ont rapporté avoir vu des visages dans les nuages. C’est incroyable de voir l’être humain jouer aux apprentis sorciers avec la nature et le dissimuler. »

« Que se passe-t’il dans les nuages, certaines personnes disent que ce sont des éclairs et d’autres des boules d’énergie massives. »

« La quantité d’énergie est tirée de la nature et est aspirée par le collisionneur lui-même, vous pouvez le constater. »

« Un portails une portes ont été ouverts dans le nuage probablement pas »

Le LHC est le plus grand et le plus puissant ordinateur du monde et est effectivement utilisé pour que des particules entrent à une vitesse proche de celle de la lumière, dans le but d’en savoir plus sur la physique et la possibilité d’univers parallèles.

La curieuse machine développée à travers un anneau de 25,7 km d’aimants supraconducteurs a été l’objet de critiques, en plein coeur de dénonciations qu’il pourrait créer, par inadvertance, un trou noir qui pourrait engloutir le monde.

Le CERN, évidemment, nie essayer de changer notre climat, mais il a effectué des expériences pour créer des nuages artificiels afin de mieux comprendre le réchauffement climatique.


On retrouve ici le même style de musique entendue dans les vidéos enregistrées partout dans le monde, Des rythmes techno aux mélodies classiques. Voici ce que dit le site Quantizer :

 

En passant par des airs jazz et pop-rock : l’expérience ATLAS peut tous les jouer grâce à Quantizer (link is external), son quantificateur.

Cette nouvelle plateforme traduit les événements du détecteur ATLAS en notes et en rythmes. Ainsi, non seulement cet instrument scientifique parmi les plus complexes du monde mènera des recherches sur la nouvelle physique, mais il générera aussi de la musique.

La plateforme Quantizer a été imaginée par Juliana Cherston, une étudiante de master du groupe Responsive Environment (environnement réactif) au laboratoire Media Lab du MIT (Institut de technologie du Massachussets), et conçue en collaboration avec Ewan Hill, doctorant de l’Université de Victoria auprès de l’expérience ATLAS. Les deux étudiants viennent de mettre Quantizer en ligne, ce qui permet d’écouter en temps réel des échantillons sonores produits avec les données les plus récentes.

« J’ai fait une licence de physique et j’ai passé quelques étés au CERN, au sein de l’expérience ATLAS, raconte Juliana Cherston. L’endroit m’a vraiment inspirée et j’ai commencé mon master en sachant déjà ce que je voulais faire : travailler sur des utilisations artistiques et créatives des données issues de la physique des hautes énergies. »

Moins d’un an plus tard, son projet est devenu réalité. Quantizer met les artistes et les compositeurs au défi d’explorer la fine frontière qui sépare la science de l’art. C’est aussi un outil très efficace de communication et de vulgarisation, car la musique produite par le système donne une forme plus intuitive et plus attrayante à la recherche en physique fondamentale. Alors, comment ça marche ?

Pour commencer, Quantizer collecte les données émises par le site ATLAS Live et leur applique un filtre pour éliminer les bruits de fond.  Ensuite, il regroupe les données de manière géométrique, les ordonne et les déplace pour s’assurer que le son produit se situe dans la gamme de fréquences audibles. Enfin, il fait correspondre aux différentes données des notes de musique.

Rien d’étonnant à ce que les phénomènes physiques qui se cachent derrière les notes soient identifiables. « On entend plus souvent des notes graves que des notes aiguës parce que les particules de faible énergie sont plus nombreuses que les particules de haute énergie, explique Ewan Hill, responsable de la sélection des données et des premières étapes de conversion. Par ailleurs, Quantizer utilise la distribution spatiale des particules, de sorte qu’il est possible d’entendre dans la musique les symétries du détecteur. »

En juillet dernier, Quantizer a donné son premier concert au Montreux Jazz Festival dans le cadre de la troisième édition de la série The Physics of Music and the Music of Physics (la physique de la musique et la musique de la physique). Quelques jours avant le festival, l’équipe Quantizer a organisé un atelier avec vingt compositeurs qui ont travaillé avec le logiciel et ont ainsi pu explorer toutes ses possibilités. « La partie la plus difficile et la plus captivante du projet a consisté à concilier le caractère aléatoire des données et la structure musicale, confie Juliana Cherston.  C’est la raison pour laquelle il est primordial de collaborer étroitement avec des compositeurs, en particulier dans la phase de lancement. »

Essayez Quantizer pour entendre l’étonnante mélodie du détecteur !

 

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Fonctionnement du quantificateur d’ATLAS (Image : Nicola Quadri pour ATLAS/CERN)



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le CERN est-il responsable de ces faits ? Nous ne pouvons pas savoir qu'elle fait provoque c'est nuage et sons. Naturel ? Recherche sur le climat ? Cern ? Harrp ? Ou peut être tout simplement un effet naturel. La seule chose que l'on peut constater c'est que quantizer crée les mêmes sons.

 

Belette

Source :
-CERN, Faite de la musique avec Atlas
-Le Grand collisionneur de hadrons haute luminosité
-Youtube
-BFMTV Un étrange nuage au-dessus du Cern affole les théoriciens du complot
-Le CERN répond aux questions posées sur les réseaux sociaux

 

 

Date de dernière mise à jour : mardi, 29 novembre 2016

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