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L’Assemblée refuse de prendre en compte le vote blanc

Le mardi, 01 août 2017

Entre l'abstention et les votes blancs et nuls, environ un Français sur trois a refusé de choisir au second tour de la présidentielle entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen...Assemble e nationnal

La prise en compte du vote blanc dans le décompte des résultats à la présidentielle, portée par des députés Constructifs avec le soutien des MoDem, socialistes et Insoumis, a été rejetée par l’Assemblée nationale dans la nuit de vendredi à samedi.

 

Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou un bulletin sans nom de candidat. Depuis une loi de 2014 visant à reconnaître le vote blanc aux élections, les bulletins blancs sont décomptés séparément des votes nuls. Mais ils ne sont toujours pas pris en compte dans le nombre des suffrages exprimés. Pour l’élection présidentielle, l’amendement, rejeté par 124 voix contre 54, visait à ce que les bulletins blancs entrent en compte pour la détermination des suffrages exprimés et qu’il en soit fait mention dans les résultats.

 

Félin en mayenne et dans ma manche ! Prudence

Le lundi, 31 juillet 2017

Les autorités sont sur le qui-vive

Un "félin" dans la Manche ? Selon les autorités, un animal de taille assez importante aurait été aperçu vendredi 28 juillet, vers Villedieu-les-Poêles, et dimanche, entre Canisy et Quibou, soit 30 km plus au nord. Dans les deux cas, un dispositif de recherche a été déployé. Mais rien n’a été découvert. Tous les services de l’État sont prêts à réagir en cas de nouveau signalement. Ce lundi aucune trace ne permet d’identifier l’espèce de l’animal en question.

Lionne, puma, hyène ? Qui est, ou sont, ces « félins » signalés depuis le 20 juillet en Mayenne et dans la Manche ?

Des témoignages ont été recueillis ces derniers jours au sujet de la divagation d’un animal sauvage sur les secteurs de Villedieu-les-Poêles vendredi 28 juillet et de Canisy dimanche 30 juillet.

Dans les deux cas, un dispositif de recherche a été déployé. Mais rien n’a été découvert. Les gendarmes ont déployé d’importants moyens : plusieurs patrouilles, des motos et l’hélicoptère.

Si vous repérez un animal, contactez la gendarmerie

Ce lundi,les éléments recueillis sont en cours d’analyse. L’hypothèse d’un animal sauvage en divagation dans le département de la Manche est toujours étudiée mais non encore confirmée dans la mesure où aucune trace ne permet d’identifier l’espèce de l’animal en question.

Tous les services de l’État sont prêts à agir en cas de nouveau signalement. La préfecture de la Manche réitère son appel à la vigilance et au discernement. Toute personne apercevant cet animal ne doit pas s’en approcher et est invitée à rapidement prévenir la gendarmerie nationale. De même, la présence de traces ou de tout autre indice permettant d’indiquer son passage pourra être signalé au même service.

Un «  félin  » aussi repéré en Mayenne

À noter qu’un «  félin  » aurait aussi été aperçu à Saint-Jean-sur-Erve, en Mayenne, le 20 juillet par un chauffeur routier. Deux jours plus tard, il aurait été vu à Changé, toujours en Mayenne, par un habitant qui l’aurait vu passer depuis la fenêtre de sa cuisine et la description faite n’a laissé aucun doute sur le sérieux du témoignage selon les gendarmes. D’après nos informations, les gendarmes de Mayenne travailleraient depuis plusieurs jours sur l’hypothèse d’un puma concolor…

APL moins 50 000 bénéficiaire à la rentrée

Le vendredi, 28 juillet 2017

Aides au logement : pourquoi 50.000 bénéficiaires vont tout perdre à la rentrée 

C'est acté, la baisse de 5 euros par mois de l'Aide personnalisée au logement (APL), qui interviendra au 1er octobre , va grever le budget des bénéficiaires de 60 euros par an... sauf pour une minorité, qui ne toucheront plus rien, écrit BFM Business ce vendredi .

 

Depuis 2007, l'aide n'est en effet plus versée si elle est inférieure à 15 euros. Or, avec la baisse annoncée de 5 euros, près de 20.000 bénéficiaires des APL, qui touchaient auparavant entre 15 et 19 euros par mois, n'auront plus rien à la rentrée. Un effet de seuil qui s'applique également aux 20.000 bénéficiaires de l'ALS (Allocation de logement à caractère social) et aux 8.400 bénéficiaires de l'ALF (Allocation de logement à caractère familial) dans le même cas. Soit tout de même une perte de 180 à 228 euros par an pour ces 50.000 allocataires... Pour l'Etat, en revanche, il s'agit d'une économie tout à fait minime : 11 millions d'euros par an, soit moins d'un millième du coût des aides au logement, au détriment des foyers qui touchaient déjà le moins d'aides.

Le calcul du montant de l'APL dépend des ressources et de la composition du foyer, de la situation professionnelle du ou des demandeurs, et de la localisation géographique du logement.

Source AFP

Pollution SOCOPA ?: des odeurs nauséabondes et des habitants inquiets

Le vendredi, 28 juillet 2017

Les odeurs pestilentielles qui ont envahi le village les 20 et 21 juillet inquiètent les habitants qui ont pris contact avec les services de l'Etat. Les épandages réalisés par la SOCOPA ne polluent-ils pas terres et rivières? - Catherine Lamellière A Orval (Manche), près de Coutances, les habitants ont dû fermer toutes leurs fenêtres jeudi 20 juillet 2017. En cause : des odeurs nauséabondes. Des associations craignent une pollution des eaux.

Jeudi 20 juillet 2017, d'importantes nuisances olfactives ont contraint les habitants d'Orval (Manche), au sud de Coutances, à vivre fenêtres fermées. Ces odeurs nauséabondes provenaient des épandages de lisiers en bordure de la Soulles, réalisés par les abattoirs de la SOCOPA. Pollution? Plus largement, cet épandage n'est pas sans alerter les défenseurs et protecteurs des eaux et rivières de la Manche qui s'inquiètent d'une éventuelle pollution des eaux. Ainsi, Jean-Yves Simon, président du collectif de huit associations impliquées dans le S.A.G.E Sienne, Soulles et côtiers ouest Cotentin et habitant d'Orval, a tenu à alerter la préfecture. L'Etat sollicité Deux représentants du bureau de l'environnement ont été diligentés très rapidement sur ce sujet. Alain Millien, président de l'association pour la protection et la promotion du patrimoine bocager (A3PB) et habitant d'Orval, a adressé un courrier aux services de l'Etat demandant des précisions quant à la proximité des épandages auprès des habitations, aux conséquences sur le système hydrique, aux contraintes réglementaires et aux précautions compte tenu de la météo. On n'est pas sans penser aux fermetures de pêche à pied ou aux interdictions possibles de baignade à l'embouchure de la Sienne. En effet, coliformes et streptocoques fécaux, invoqués dans ces interdictions, se trouvent en très forte concentration dans le lisier avec une durée de vie de 8 à 12 semaines. De fortes pluies ont suivi ces épandages et aucun enfouissement n'a été constaté.

 

Source : MANCHE LIBRE: 27 juillet 2017 à 15h03

 

Les larmes de ce garçon trans ont ému Internet

Le jeudi, 27 juillet 2017

La mère d’un garçon de 9 ans a publié cette photographie pour mettre en lumière les conséquences désastreuses, pour les personnes transgenres, de la « loi toilettes » en débat au Texas.

« Nous n’avons pas choisi ce combat mais quand des politiciens utilisent ton enfant comme un pion de leur lutte politique, tu tentes de résister comme n’importe quelle maman poule. » Amber Briggle est la « maman poule » de Max, 9 ans. En mars dernier, ils étaient tous deux photographiés à la sortie du bureau du gouverneur du Texas, Greg Abbott. Max, jeune garçon trans, agenouillé en larmes, comprenait alors qu’il risquait d’être obligé d’utiliser les toilettes dédiées aux filles de son école. Lui qui, depuis trois ans, utilise uniquement des pronoms masculins pour se définir. Mercredi 19 juillet, Amber Briggle a décidé de poster cette photo sur son compte Facebook pour alerte l’opinion publique sur la « bathroom bill » en débat en Texas.

Des familles vont poursuivre quatre laboratoires pharmaceutiques

Le mardi, 25 juillet 2017

La nouvelle tombe mal pour le gouvernement, qui souhaite que le nombre de vaccins obligatoires pour  enfance passe de 3 à 11 en 2018. Une action de groupe contre quatre laboratoires pharmaceutique doit être menée en septembre par une centaine de familles convaincues de l'existence d'un lien entre vaccination et autisme, rapporte Le Parisien dans son édition datée du lundi 24 juillet.

Introduite par l'association Autisme Vaccinations devant le tribunal de grande instance de Paris, cette action de groupe visera les laboratoires Sanofi, Pfizer, Eli Lilly et GlaxoSmithKline. Les familles à l'origine de cette démarche entendent leur "demander réparation des dommages causés par la vaccination pédiatrique", qu'elles tiennent responsable de l'augmentation des cas d'autisme chez les jeunes enfants. Ce que cinq études américaines indépendantes menées depuis près de vingt ans n'ont pas permis de prouver, rappelle toutefois le quotidien.

 

Une militante EELV à la tête de la contestation

A la tête de cette action se trouve Martine Ferguson-André, que le quotidien décrit comme une "militante acharnée". Membre de la commission santé d'Europe Ecologie-Les Verts, elle affirme que son fils est devenu autiste après avoir été vacciné à cinq reprises lorsqu'il était âgé de dix mois. Elle met en cause le thiomersal, conservateur contenant du mercure, qui a été retiré par précaution des vaccins en 2000 par les autorités de santé.

Cette femme, qui se présente comme lanceuse d'alerte, affirme que "sa vie[est] en jeu" depuis sa prise de responsabilités dans la lutte anti-vaccins. Elle assure ainsi au Parisien que son appartement a été "fouillé" et indique recevoir "des lettres anonymes de menaces de mort".

Le quotidien précise que Martine Ferguson-André organise des projections du documentaire conspirationniste Vaxxed, réalisé par un ancien médecin britannique radié de la profession après avoir été reconnu coupable de fraude scientifique par l'équivalent anglais du Conseil de l'ordre des médecins. 

Alerte sur les conditions de travail, députée aide-soignante va vous bouleverser !

Alerte sur les conditions de travail, députée aide-soignante va vous bouleverser !

Le vendredi, 21 juillet 2017

A écouter jusqu'au bout... La députée Caroline Fiat (France Insoumise) alerte sur les conditions de travail dégradées des personnels de santé, et interpelle la ministre de la santé. Le 19/07/2017, Assemblée nationale.
Merci à Caroline Fiat !

 

 

L'avenir est aux batteries domestiques

Le mercredi, 19 juillet 2017

Le fabricant de voitures électriques Tesla va construire la plus grande batterie du monde en Australie. De la taille Bateriede plusieurs conteneurs maritimes, elle pourra alimenter une petite ville souvent victime de coupures de courant. Et Tesla n'est pas le seul dans cette course à la plus grosse batterie, d'autres fabricants consacrent aussi des millions en recherche et développement pour améliorer les performances et l'autonomie.

 

Le stockage de l'énergie est un véritable enjeu d'avenir. C'est par là que passe la transition des énergies fossiles vers le renouvelable. Le problème est simple : pour le moment, la production d'électricité s'adapte en temps réel à notre consommation. Pendant la nuit, vous consommez moins, voire pas du tout d'électricité. Pas de problème, on ralentit la centrale nucléaire ou bien la centrale au gaz. Le soir vous rentrez chez vous, tout le monde rallume ses lumières, on augmente la production, et ça, ça se fait à la seconde près, il n’y a jamais ni de pénurie ni de gaspillage.

Maintenant imaginez un monde sans nucléaire, sans pétrole, avec à la place des panneaux solaires et des éoliennes. Quand tout le monde a besoin d'électricité, s’il n’y a pas de vent ou si il n'y a pas de soleil, évidemment, ça ne fonctionne pas. Il faut donc parvenir à stocker l'énergie produite au moment où c'est possible, quand il y a du vent et quand il y a du soleil, et à libérer cette énergie au moment où on a besoin. Il faut pour ça des batteries tampon. Sans stockage, pas d'énergie renouvelable à grande échelle, c'est pour ça que c'est un vrai enjeu d'avenir, qui se prépare dès aujourd'hui. Michaël De Koster, responsable de l'innovation stockage d'énergie au centre de recherche d'Engie Electrabel, l'assure : "Dans le monde de demain, il faudra beaucoup de batteries."

"Il faudra un minimum de stockage, et plus de stockage qu'on a aujourd'hui, pour pouvoir développer plus massivement les énergies renouvelables. Et donc on voit, c'est déjà le cas en Allemagne, que les batteries sont une solution pour stocker localement et consommer à d'autres moments cette énergie produite", ajoute-t-il.

 

Une batterie dans le garage... ou livrée à domicile

A l'avenir, on pourrait imaginer que les habitations serait équipées d'une éolienne dont l'énergie serait stockée dans une batterie située à la cave ou dans le garage.  Dans un futur plus lointain, des camions-batterie pourraient même venir directement chez les particuliers, comme les livreurs de mazout aujourd'hui. Sans oublier les batteries déjà chargées qu'on achèterait au supermarché comme on le fait avec une bonbonne de gaz quand on va à la pompe à essence

Il y a aussi des débouchés à plus grande échelle : des grosses batteries-containers pour alimenter l'ensemble du réseau électrique. Un test est en court  en Belgique, à la centrale de Drogenbos, où plusieurs containers-batteries ont été installés.

Les villages reculés sur le continent africain pourraient eux aussi en bénéficier. Pour le moment, ils ne peuvent pas être autonomes simplement avec des panneaux solaires, puisque le soir il n'y a pas de soleil. Mais si les villageois avaient une grosse batterie, il pourraient être autonomes. Plus besoin d'être relié physiquement au réseau électrique terrestre, un réseau dont on pourrait d'ailleurs imaginer un jour se passer, y compris chez nous. Il pourrait ne plus n'y avoir que des micro réseaux locaux. C'est clair, le jour où les batteries seront plus efficaces et moins chères, ce qui n'est pas encore le cas aujourd'hui, elles devraient modifier considérablement le secteur énergétique.

De là à imaginer un monde sans nucléaire... pourquoi pas ? "Si on se projette à 30 ans, donc vraiment à un monde qu'on envisage autrement avec beaucoup plus d'énergies renouvelables, on voit qu'effectivement techniquement, on aura des solutions qui permettront d'augmenter considérablement la proportion des énergies renouvelables. Tout en garantissant avec d'autres moyens l'équilibrage du réseau", assure Michaël De Koster.

D'ici là, il y a encore quand même un sérieux travail de recherche à effecteur. Pour le moment les constructeurs de voitures électriques sont à la pointe. Ce sont eux qui tirent le développement. Parce qu'à court terme, les débouchés principaux pour les batteries, c’est la mobilité, notamment les voitures électriques.

 

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